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Un jour, un santon

Je n’ai pas compté mon labeur, et ma couffe est pleine. Fougasses et épis entourent la miche que j’ai entaillée d’une croix : elle ira sur la table du gros souper. Mon pain, c’est la fortune du quotidien, un présent digne du plus grand roi. Car on le murmure au village aujourd’hui : Ount i'a de pan e de vin, lou rei pou veni, s'il y a pain et vin, le roi peut venir...
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